L’infertilité touche 15% des couples aujourd’hui.
Parmi ces 15%, 25% des cas n’ont pas de causes d’infertilité identifiée par la médecine reproductive (25% des cas d’infertilité). Or une part importante de cette infertilité peut être attribuée à l’alimentation, à l’environnement, au mode de vie.
On pourrait largement s’éviter le recours à des méthodes invasives, en préparant mieux le terrain nutritionnel des patientes. Une grossesse se prépare idéalement un an avant la conception. Pour cela la micronutrition est très utile.
Je vais vous citer quelques chiffres:
Les femmes enceintes ou allaitantes doivent également avoir recours à la micronutrition afin de s’assurer des étapes de vie douces et sereines.
Une fois l’approche diététique mise en place, la micronutrition vient potentialiser les résultats. En effet, lorsque les troubles sont anciens ou aigus, modifier l’alimentation seule donne des résultats mais sur le long terme.
La micronutrition me permet de conseiller aux patients des vitamines, minéraux, oligo éléments, acides aminés et plantes qui permettent d’avoir des résultats plus puissants et plus rapides.
Des bilans micronutritionnels permettront de vérifier les intolérances éventuelles et d’individualiser la prise en charge. Le but est de restreindre le moins possible l’alimentation quand ce n’est pas nécessaire.
Souvent les patients me disent qu’on leur a fait supprimer le gluten ou les laitages et qu’ils ne savent plus quoi manger pour ne pas avoir mal au ventre. La micronutrition permet de redonner du confort, rapidement et de ne pas continuer à supprimer des aliments inutilement.
Les troubles du comportement alimentaires peuvent être plus ou moins sévères. Il est important de recevoir le diagnostic de ce trouble par un professionnel de santé tel qu’une diététicienne-nutritionniste ou un médecin.
La micronutrition n’est pas la 1ere thérapie à envisager lorsque les troubles sont forts et/ou anciens. Une première partie de travail sur le comportement alimentaire en psychonutrition sera alors indiqué.
En revanche, si les troubles sont récents, il peut s’agir d’un déséquilibre des neuromédiateurs, d’un déficit en acides gras essentiels, d’habitudes alimentaires à revoir ou encore d’un déficit en micronutriments. Et la micronutrition va alors être très utile pour remonter les statuts nutritionnels, et retrouver le plaisir de manger tout en perdant du poids si c’est l’objectif.
Diététicienne-Nutritionniste, je me suis formée à la micronutrition avec un diplôme universitaire de la faculté de médecine de Grenoble.
Je suis une spécialiste de la nutrition santé et je vous reçois en cabinet sur Bordeaux-Le Bouscat ou bien en visio, via Doctolib.